Vinyles

THERE'S NO DEVILS AT ALL, IT'S JUST THE SYSTEM (Ref. LPOne 23 1 14-4)

1 LP - 2015

Zarboth ? Un nom étrange, celui d’un groupe qui prend sa place alphabétique en faisant trembler toute vraie bonne discothèque entre Frank Zappa et les Zombies ; une formation née en 2007 de la rencontre d’Etienne Gaillochet, batteur de We Insist!, et de Phil Reptil, guitariste de la Théorie du Reptile. Zarboth ? Zarboth ? Ce pourrait bien être un dieu grec extralucide tant leur musique a des allures d’Illiade et d’Odyssée d’un rock post apocalyptique, ou bien une créature extradée des enfers enchaînant des chansons propres à faire basculer toutes les évidences en réveillant les morts, ou encore une toupie folle dopée aux épinards. Leur troisième album se nomme There's No Devils At All, it's Just the System. Pour ce constat brûlant, le duo a invité le rappeur-trompettiste-poète-illustrateur irlandais Macdara Smith, transfuge d’Osteti. Poètes mus en êtres de violence ou l’inverse, Zarboth et Macdara Smith s’immergent en une folle suite de dix chansons très en chair peignant le Monde au couteau, dix indociles rêves éveillés de surréalité, dix perles actives éperdument pénétrantes d’un Z qui veut dire Zarboth.

La version CD comprend des illustrations des titres par Macdara Smith. 

« Tour à tour onirique ou inquiétant, parfois bruitiste et autant ultra-mélodique, Zarboth ne laissera personne indifférent, personnellement, on trouve ça absolument passionnant… » in Abus Dangereux n°138

« Quelque part entre Primus et Battles, avec un soupçon de chant sous influence hip hop, There's No Devils At All, it's Just the System prouve encore une fois combien le talent de la scène alternative et expérimentale française est grand. » Guillaume Ley in Guitar Part, janvier 2016

« Une exploration musicale qui ne manque pas de poigne, ni de visions hallucinées. On sort de There's No Devils At All, it's Just the System épuisé mais heureux. » Denis Zorgniotti in Benzin, 14 décembre 2015

« Reste que si tous les ingrédients sont connus, on n'a jamais entendu pareil mélange. » Olivier Drago in Noise, novembre 201