Les 7, 8, et 9 novembre 2018, les Deuxièmes Rencontres des Allumés du Jazz sont orgnisées à Avignon.
En ces temps d’une fragmentation stupéfiante des moyens d’enregistrement, de diffusion et d’écoute, alors qu’après une chute imposante, la vente des disques compacts se (re)stabilise, alors que le streaming se généralise, que des genres comme le jazz et la musique classique n’y retrouvent plus leurs petits, alors que l’écoute accompagnée de vidéo (notamment sur Youtube) pulvérise les règles établies des droits d’auteurs, d’interprètes et de producteurs, alors que le téléchargement légal à peine né s’effondre, alors que les maîtres de l’internet et de la technologie tendent à devenir les maître du champ musical au détriment même des anciens maîtres nommés « majors », alors que la publicité fait une envahissante irruption dans le monde musical, alors que des disquaires refont surface par passion et que les rayons des grands magasins se réduisent, alors que les distributeurs font face à une consignation généralisée, alors que le disque vinyle condamné au néant, il y a de nombreuses années, fait un retour chic et choc, alors que la cassette fait aussi un retour chez les indomptables de la musique anglo-saxonne, alors que se multiplient et s’inventent, dans et hors l’internet, toutes sortes d’initiatives qu’on qualifiera, c’est selon, de résistantes, fantaisistes, saugrenues, ingénieuses, jamais la question de l’enregistrement de la musique, de son sens, de sa finalité, ne s’est posée aussi puissamment. Les Allumés du Jazz, entendent, par nécessité, lors de l’organisation d’un second Forum à Avignon, après celui de 2005 qui connu un franc succès, où seront posée, débattue tous ces aspects, trouver une juste dynamique face et dans le monde musical dans une situation bouleversée.
Des thèmes variés allant du numérique, à l'enregistrement, en passant par l'autoproduction et les fonds d'aides seront abordés. Des personnalités de la musique, journalistes, musiciens, producteurs, sociologue, économiste, financeurs débatront autours de ces questions chacun avec leur regard et point de vue.
- « Un siècle de prises de sons et de musique en boîte »
- « Fonds d'aide et indépendance »
- « Livres, disques et films aménagent le territoire »
- « La simplification des stickers contre le discours critique »
- « L'aventure collective »
- « Le miroir aux allumettes »
- « Numérique, l'envers du décor »
- « Le marché de la musique ou la musique au marché »
- « Les petites séries »
- « Le musicien face à l'acte d’autoproduction, jusqu'où ? »
- « Les travailleurs du disque »
En ces temps d’une fragmentation stupéfiante des moyens d’enregistrement, de diffusion et d’écoute, alors qu’après une chute imposante, la vente des disques compacts se (re)stabilise, alors que le streaming se généralise, que des genres comme le jazz et la musique classique n’y retrouvent plus leurs petits, alors que l’écoute accompagnée de vidéo (notamment sur Youtube) pulvérise les règles établies des droits d’auteurs, d’interprètes et de producteurs, alors que le téléchargement légal à peine né s’effondre, alors que les maîtres de l’internet et de la technologie tendent à devenir les maître du champ musical au détriment même des anciens maîtres nommés « majors », alors que la publicité fait une envahissante irruption dans le monde musical, alors que des disquaires refont surface par passion et que les rayons des grands magasins se réduisent, alors que les distributeurs font face à une consignation généralisée, alors que le disque vinyle condamné au néant, il y a de nombreuses années, fait un retour chic et choc, alors que la cassette fait aussi un retour chez les indomptables de la musique anglo-saxonne, alors que se multiplient et s’inventent, dans et hors l’internet, toutes sortes d’initiatives qu’on qualifiera, c’est selon, de résistantes, fantaisistes, saugrenues, ingénieuses, jamais la question de l’enregistrement de la musique, de son sens, de sa finalité, ne s’est posée aussi puissamment. Les Allumés du Jazz, entendent, par nécessité, lors de l’organisation d’un second Forum à Avignon, après celui de 2005 qui connu un franc succès, où seront posée, débattue tous ces aspects, trouver une juste dynamique face et dans le monde musical dans une situation bouleversée.
Des thèmes variés allant du numérique, à l'enregistrement, en passant par l'autoproduction et les fonds d'aides seront abordés. Des personnalités de la musique, journalistes, musiciens, producteurs, sociologue, économiste, financeurs débatront autours de ces questions chacun avec leur regard et point de vue.
- « Un siècle de prises de sons et de musique en boîte »
- « Fonds d'aide et indépendance »
- « Livres, disques et films aménagent le territoire »
- « La simplification des stickers contre le discours critique »
- « L'aventure collective »
- « Le miroir aux allumettes »
- « Numérique, l'envers du décor »
- « Le marché de la musique ou la musique au marché »
- « Les petites séries »
- « Le musicien face à l'acte d’autoproduction, jusqu'où ? »
- « Les travailleurs du disque »