Les Rivières souterraines... Pierre Barouh

Publié le 2011-10-17
Temps de lecture : 1 min.
Les Allumés du Jazz
Les Rivières souterraines... Pierre Barouh
Les Allumés du Jazz

LE LABEL SARAVAH NOUS PRÉSENTE :

 

(collection Danielle Pampuzac)
Inoubliable auteur-compositeur-interprète, entre tant d’autres succès, d’Un homme et une femme, Samba saravah, La Bicyclette, Des ronds dans l’eau…
Créateur du label Saravah, Pierre Barouh est un infatigable passeur de LA CHANSON, qui « envahit son esprit et jalonne son parcours ».
Habité par « l’obsession de l’autre rive » qui, depuis son adolescence, conduit cet insatiable voyageur-baladin (estampillé « profession : promeneur », dès son premier passeport), ce flâneur solitaire à la quête des autres, pratiquant «l’auto-stop dans les deux sens », sac et guitare sur le dos.
Barouh nous entraîne sur les chemins du partage de son « triangle magique », du Québec au Brésil et au Japon (où il passe une partie de sa vie). Et nous « décroche la terre » dans ce livre enrichi de photos, de quarante-cinq de ses chansons… Et, même, d’un lien internet permettant d’accéder au panoramique de son univers créatif évoqué dans ce livre.
Vers un voyage de plus… Jean Cormier nous parle des Rivières souterraines… : « Il y a ceux qui rêvent les yeux ouverts et ceux qui vivent les yeux fermés... »
En chantant ses mots Pierre Barouh se raconte. Pierrot est un mec à part, le dernier d’une tribu cousine des Mohicans, où l’on prend la plume pour écrire sur « la mémoire du vent ».
Pierrot est un rebelle qui guerroie contre « la dictature du code barre ». Il y a un langage Barouh. Les Rivières souterraines…, titre qu’il a choisi pour son bouquin, soutend une vie de baroudeur de l’esprit. Doux d’apparence, le verbe posé, le Barouh épie, sait se faire oublier. Puis, quand quelqu’un faute, il bondit sur sa proie et, en deux phrases à la « nitro-nitropeu », il la broie. S’il a rendu hommage à Brassens, le Sétois le lui a rendu. Il a joué au tennis avec Redford, au volley sur les plages de Rio, avec les mots avec Blondin, aux jeux de l’amour avec Anouck Aimé.
Lui qui affirme que la contrainte sollicite l’imagination, il a le culot de s’enfoncer dans une mangrove, qu’elle soit parisienne, nippone, québécoise ou brésilienne, pour en sortir comme un magicien, avec une chanson de rêve et de réalité à la fois, au style si pure qu’on ne peut pas imaginer combien de sueur elle lui a coûté.
Nous aimons tes sourires à l’envers, Pierrot, nous aimons Wellington ta chanson où tu communiques en tapant du pied avec nos frères maoris néozélandais.
Ton livre, Les Rivières souterraines… déborde de tendresse. Déborde de toi. Elles se lovent, tes rivières, et nous y prenons des bains debout. Comme toi, car tu n’es pas du genre à plier, notre pilier d’amitié.
Jano de chez Cormier

Les Allumés du Jazz
Les Allumés du Jazz

Vous pouvez nous contacter,
par téléphone +33(0)2 43 28 31 30|par Email contact@lesallumesdujazz.com

N'hésitez pas, nous sommes à votre écoute.